Un client de Me Sophie Racine-Berthiaume a été accusé de plusieurs infractions suivant un conflit avec son ex-conjointe. Lors du premier incident, notre client a claqué le bras de la victime, a tenté de l’empêcher de se sauver et lui a flatté les seins et les fesses en tentant de créer un rapprochement. Il fut alors accusé d’agression sexuelle (article 271 Code criminel), de voies de fait (article 266 Code criminel) et de séquestration (article 279 Code criminel). Il a subséquemment commis des bris de condition (article 145 Code criminel) alors que la victime lui envoyait des messages et que ce dernier aurait « aimé » les photos reçues.
La procureure au dossier demandait qu’il soit infligé à notre client une peine de détention ferme. Notre avocate, quant à elle, a fait valoir les nombreux suivis thérapeutiques du client ainsi que son changement de travail. Elle a proposé au juge d’accorder une absolution conditionnelle à son client. Après des plaidoiries très contradictoires entre la défense et la couronne, le juge s’est rangé aux arguments de notre avocate et a accordé l’absolution conditionnelle.
Tous les clients de Me Racine-Berthiaume ne peuvent obtenir une absolution. Voir notice.
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