Une femme d’affaires propriétaire d’un commerce s’est rendue dans un motel suite à une querelle. Rendue à destination, elle vide le contenu du sac sur le lit et remarque un sac de plastique contenant une quantité appréciable de divers stupéfiants qu’elle laisse parmi les autres items.
Quelques instants plus tard, des policiers se présentent à la porte suite à l’appel d’une connaissance qui est inquiet pour sa sécurité. Après discussion, les policiers convainquent la dame d’accepter de se rendre à l’hôpital pour obtenir de l’aide. Alors qu’elle reprend ses effets, les policiers remarquent les stupéfiants et procèdent à son arrestation pour possession de 4,57g de cocaïne, 9 comprimés de méthamphétamine (speed), 18 comprimé d’amphétamine (MDMA) et 1,32g d’un substance dérivée de la cocaïne (article 4 loi réglementant certaines drogues et autres substances).
La cliente a engagé notre cabinet d’avocat en droit criminel pour la représenter devant les tribunaux, plus spécifiquement Me Laurent Morin. Elle voulait à tout prix éviter d’avoir un casier criminel pour pouvoir continuer les activités liées à son entreprise. Cela aurait pu également compromettre ses plans d’expansion.
Après négociations par notre cabinet avec le procureur de la Couronne, elle a obtenu une absolution conditionnelle avec quelques heures de travaux communautaires et un petit don de charité, évitant ainsi d’avoir un casier judiciaire.
Les clients de Me Laurent Morin n’obtiennent pas tous une absolution. Voir notice.
Leave a Reply
Votre adresse email ne sera pas publiée.
You must be logged in to post a comment.